Je m’appelle Marianne, et je voudrais vous parler de Liberté. Cette valeur mise sur le devant de la scène ces derniers jours.
Liberté d’être, liberté de faire.
Liberté de circuler, liberté de penser.
Et quoi d’autre encore… ?
Depuis toute petite, la liberté m’accompagne. Me sentir libre, voilà à quoi j’aspirais. Libre au point de pouvoir voler ! Je me souviens de ces moments de grande joie où je prenais mon vélo et j’allais me percher sur le sommet de la colline. Je me sentais libre de penser, d’imaginer, de rêver… Libre et sans jugement, de parler aux arbres et aux nuages.
Mes parents m’ont appris à être libre, avec cette seule consigne de respecter la liberté de l’autre et le cadre. Ce cadre, je ne l’ai jamais remis en question. L’autorité fixait les limites de ma liberté et je trouvais cela rassurant. J’étais une enfant.
La liberté évolue avec l’âge
A l’adolescence, j’ai voulu dépasser le cadre, expérimenter cette liberté qui s’offrait à moi. Souvent je me heurtais à une nouvelle autorité, un nouveau cadre. La liberté est donc dépendante de là où je vis ? Je comprenais que ce cadre fixé par d’autres, prétendument sécuritaire, devenait un enfermement, une prison.
A l’age adulte, je me souviens que je m’enflammais pour la liberté. Pour ces femmes aux moyen-orient, pour ces enfants qui vivaient avec des parents autoritaires, pour ces jeunes qui affirmaient leur différence sexuelle, etc… Je revendiquais la liberté comme un droit, et je m’insurgeais chaque fois que celui-ci était bafoué. Je voulais briser les cadres étouffants, limitants. J’avais même un jour revendiqué la liberté pour mes dessins en refusant de les encadrés !!
La liberté intérieure
La liberté, elle résonne comme un sens fondamental pour l’être humain : se sentir libre.
Cette liberté que je voulais défendre, telle la Marianne de Delacroix, était une façon de ne pas voir ce qu’il y a avait en moi : la liberté intérieure.
Pour la percevoir, il m’a fallu du temps. Beaucoup de conscience, de lectures, de rencontres, de thérapeutes. J’ai mis de la conscience sur ma vie, comme on mettrait de la lumière dans une pièce. J’y ai vu les recoins sombres : mes habitudes, mes comportements, mes émotions refoulées, mes souvenirs douloureux, mes attentes, mes relations,…
La liberté intérieure, c’était ces espaces qui s’éclairaient, et s’éclairent encore aujourd’hui, sous l’effet de la conscience et de la pratique thérapeutique. Plus je libérais mes traumatismes, le poids de mes ancêtres, mes peurs, mes doutes, mes craintes, plus se créait de l’espace à l’intérieur. Et désormais, cet espace vacant, j’avais le choix de le remplir avec ce que je voulais. Dans cet espace intérieur, je peux être moi-même, toucher à mon essence véritable, à celle que je suis. Je peux apercevoir le diamant qui scintille au creux de mon cœur… dans cet espace je peux choisir ce qui est juste pour moi, et ce qui ne l’est pas. Dans cet espace de paix et de sérénité, je peux écouter la voix de mes guides. Dans cet espace j’ai appris à dire oui et à dire non, sans que ce soit sous l’influence de qui que ce soit. Cet espace est mien, en totale sécurité.
Cette liberté intérieure, mon seul « combat »
Aujourd’hui, toute forme de liberté qui est bafouée, réduite, soulève encore mon cœur. Il se met à pulser si fort, qu’il me rappelle qu’il y a encore de la place à libérer à l’intérieur. C’est le seul « combat » que je mène.
Cette liberté intérieure se transmet, apaise les relation, fluidifie le quotidien, améliore la vitalité et l’immunité, apporte de la clarté. C’est un vrai trésor que je vous invite à aller explorer.
Avec des fleurs de Bach, des mandalas ou des états de conscience modifié, je vous accompagne à mettre de la clarté dans vos intérieurs et à accéder à cette liberté intérieure qui est la votre, intime et précieuse.
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